Message de Krishnamurti
Nous sommes toujours des hôtes sur cette terre, avec l’austérité
que cela implique. L’austérité est plus profonde que le renoncement des
possessions. Ce mot d’austérité a été spolié par les moines, les ermites, les
sannyasi. Il n’avait pas de sens là-haut, dans la solitude des choses, des
multitudes de pierres, de petits animaux, de fourmis. Et dans le lointain,
au-delà des collines, la grande mer brillait, étincelait. Nous avons scindé la
terre comme si elle nous appartenait - votre pays, le mien, votre drapeau, son
drapeau, la religion d’ici et celle de l’autre, là-bas.
Le monde, la terre est
divisée, en morceaux. Nous nous battons et nous disputons pour la possession,
et les politiciens exultent de pouvoir maintenir cette division, sans jamais
considérer le monde comme un tout. Ils n’ont pas l’esprit global. Jamais ils ne
ressentent ni ne perçoivent l’immense potentiel de n’avoir pas de nationalité
ni de division. Ils ne s’aperçoivent jamais de la laideur de leur pouvoir, de
leur position, de leur sentiment de supériorité. Ils sont comme vous et moi,
mais ils occupent le siège du pouvoir avec toute la mesquinerie de leurs désirs
et de leurs ambitions. Ainsi, ils assurent la survivance d’un comportement «
tribal » que l’homme a toujours eu à l’égard de l’existence. Ils n’ont pas
l’esprit libre de tout idéal ou idéologie, l’esprit qui dépasse les divisions
entre les races, les cultures, et les religions que l’homme a inventées.
Les gouvernements seront
nécessaires tant que l’homme ne sera pas sa propre lumière, tant qu’il ne
mettra pas de l’ordre et de l’affection dans sa vie quotidienne, et qu’il ne
portera pas un soin attentif à son travail, à ses observations, à son
apprentissage. Il préfère être dirigé dans ses actes, comme il l’a été depuis
toujours, par les anciens, les prêtres, les gourous. Et il accepte les ordres
de ceux-ci, leurs curieuses pratiques destructrices, comme s’ils étaient des
dieux incarnés, comme s’ils connaissaient toutes les conséquences de cette vie
si extraordinairement complexe.
.. redécouvrir l'enfant qui est en nous ...
On m'a dit un jour .. trouver votre lieu de sérénité ...ça pourrait être votre fauteuil favoris .?.! non .. ou votre coin préféré au jardin .. près de la fontaine ? ! non ..?! chercher son lieu de sérénité .. ça équivaut à chercher le paradis à soi .. j'ai cherché et cherché .. je suis remonté loin .. bien loin .. dans mon enfance .. et là j'ai découvert le paradis le vrai ! la pureté de l'âme, la clarté de l'esprit, l’émerveillement .. ma maman était la plus belle femme du monde .. mon papa .. l'homme le plus fort du monde.. notre maison .. un palais des mille et une nuits .. tout était beau et relevant de l'imaginaire ..
j'étais heureuse, une pierre, une émeraude, un jouet .. ça avait la même valeur du moment que je voulais, ou tout simplement j'aimais .. l'amour, la jalousie .. quoi de plus beau .. l'insouciance, l'innocence,
c'est à tenir le globe dans sa petite main d'enfant .. entre ses cinq doigts c'est réalisable .. du moins pour moi étant petite ...
se sentir en sécurité de toute les manières le danger et toujours loin pour un enfant ..
se créer des amis imaginaires même quand on est seule ... Alors que ne ferons nous pour reconquérir ce petit être qui sommeille en nous .. que ne ferons nous pour réintégrer ce beau monde .. ne serait ce que pour la magie d'un instant ..
.. et si nous cultivions notre jardin intérieur . .
Les jardiniers sont parmi les êtres les plus sereins sur terre -du moins lorsqu'ils jardinent. L'ignoriez vous ? .. et si nous cultivions notre jardin intérieur ..nous découvrirons alors ce monde inconnu de nous ..
la plupart d'entre nous ont peur de s’asseoir avec soit .. de tenir une conversation avec soit dans le silence.. ce silence fait peur .. ce silence est notre vrai miroir .. il nous fait découvrir combien de facettes cachées de notre propre personne ..
les plus beaux moments .. les plus profonds .. sont les moments de grand "Khoschouaa" en priant en toute modestie devant le Créateur Allah ... dans le silence nous l'implorons .. toute âme et tout coeur ...
Comment sourire quand tout est tristesse autour de soi
Comment prétendrai-je sourire alors que je suis triste si
triste par tant de haine… tant de malheur ... tant de sang noble déversé à tort
... sommes nous devenus des sanguinaires
… nous nous réjouissons à la vue de sang ?! Que faut il pour devenir ce
que nous devons être ... que faut il pour retrouver la Grandeur de l'être
humain que l'on nous a tant enseigné ... Que faut-il encore ?.... Que
faut-il faire ? ... continuer à s’entretuer … s’exterminer … où allons-nous
… vivre un deuil perpétuel … ? ! ! !
L'Alchimie parmi nous ...
... Quatrième maître spirituel sur Voies des Sages ...
"Ce qui est ne peut être changé. Je ne le voudrais pas
et, si on me demandait de choisir entre ce que je "veux" et ce que me
présente la vie, je ne pense pas que j'hésiterais, car la vie est l'expression
de la volonté supérieure à laquelle je me rends complètement".
Passage choisi
Le feu d'amour brûle caché au fond du coeur de tout être. C'est le feu divin - il porte en lui l'illumination, la paix et la fécondité. Mais peu connaissent son essence sacrée. Alors les humains, au lieu de le cultiver pour lui-même, l'utilisent à éclairer et à faire leurs des objets et des êtres, se rendant captifs de ce qu'ils croient posséder. Le feu sacré, le feu naturel se dégrade ainsi pour devenir ce que les anciens alchimistes appelaient le tyran de nature. Notre grand oeuvre est d'abattre ce tyran en lui rendant sa véritable dignité. Il consiste à cultiver le feu pour lui-même : faire naître le pur amour, celui qui rayonne librement comme la clarté d'un astre, illuminant et réchauffant l'espace alentour. Il ne poursuit pas d'autre récompense que à lui-même. Son seul but est d'éveiller autour de lui d'autres foyers où se révèle sa nature. Ainsi il se propage de place en place, ainsi s'instaure dans le pays ténébreux le règne du feu, ainsi se multiplient les phares qui réjouissent la nuit et dissipent l'angoisse. Sans de tels points de vraie lumière, l'humanité s'abandonne de plus en plus aux fausses clartés. Elles naissent du cerveau, renforcent le moi, son désir d'autonomie et de puissance et, par contrecoup, font naître en lui la crainte de perdre ces biens, le conduisant à accumuler des moyens de défense devenus à la fin monstrueux et menaçant de détruire, avec l'ennemi, celui qui les met en oeuvre. Ainsi, pour avoir fait passer la possession et la puissance avant le don et la tendresse, pour avoir changé le feu d'amour en tyran meurtrier, l'homme devient victime de cette force surhumaine.
Le feu d'amour brûle caché au fond du coeur de tout être. C'est le feu divin - il porte en lui l'illumination, la paix et la fécondité. Mais peu connaissent son essence sacrée. Alors les humains, au lieu de le cultiver pour lui-même, l'utilisent à éclairer et à faire leurs des objets et des êtres, se rendant captifs de ce qu'ils croient posséder. Le feu sacré, le feu naturel se dégrade ainsi pour devenir ce que les anciens alchimistes appelaient le tyran de nature. Notre grand oeuvre est d'abattre ce tyran en lui rendant sa véritable dignité. Il consiste à cultiver le feu pour lui-même : faire naître le pur amour, celui qui rayonne librement comme la clarté d'un astre, illuminant et réchauffant l'espace alentour. Il ne poursuit pas d'autre récompense que à lui-même. Son seul but est d'éveiller autour de lui d'autres foyers où se révèle sa nature. Ainsi il se propage de place en place, ainsi s'instaure dans le pays ténébreux le règne du feu, ainsi se multiplient les phares qui réjouissent la nuit et dissipent l'angoisse. Sans de tels points de vraie lumière, l'humanité s'abandonne de plus en plus aux fausses clartés. Elles naissent du cerveau, renforcent le moi, son désir d'autonomie et de puissance et, par contrecoup, font naître en lui la crainte de perdre ces biens, le conduisant à accumuler des moyens de défense devenus à la fin monstrueux et menaçant de détruire, avec l'ennemi, celui qui les met en oeuvre. Ainsi, pour avoir fait passer la possession et la puissance avant le don et la tendresse, pour avoir changé le feu d'amour en tyran meurtrier, l'homme devient victime de cette force surhumaine.
... Vivre le Zen ...
... Jacques Brosse ...
"Me définir?... Je ne le pourrai qu'après ma mort. Et encore ! Pour le moment, je me sentirai plutôt - et fort heureusement - indéfini
Propos recueillit par Jean Biès du Troisième maître spirituel ... dans Voies des Sages
Photo Copyright Philippe Lelluch 2000 |
Propos recueillit par Jean Biès du Troisième maître spirituel ... dans Voies des Sages
... Lanza del Vasto ...
.. le deuxième maître spirituel ...rencontré par Jean Biès dans Voies des sages
http://www.dailymotion.com/video/x5ojry_lanza-del-vasto-le-pelerin_webcam
<<JB : Mais comment convertir autrui quand on n'est pas converti soi-même?
LdV: Révolution bien ordonnée commence par soi même... Tu veux un monde meilleur, plus juste? Eh! bien commence à le faire; qui t'en empêche? Fais le en toi et autour de toi, fais le avec ceux qui le veulent. Fais le en petit, et il grandira. Mais si tu commences par le monde sur lequel tu n'as point de prise, rien ne se fera... C'est ce que nous avons fait avec des unités d'abord, puis des dizaines, puis des centaines. La croissance reste lente, mais nous ne la hâteront pas en tirant sur la tige.
LdV : Comme le viol délibéré et proclamé de toute loi injuste. Mais en ne tuant personne, en ne nuisant personne, en acceptant les châtiments par la loi.C'est cela qui pourra concourir à rectifier la loi. Forcer l'ennemi à redoubler ses coups au lieu de les lui rendre. Jusqu'à ce qu'au fond de lui, sa conscience finisse par basculer.>>
... le Soufisme ...
Ô Dieu, donne-moi ton Amour, donne-moi l'amour de celui qui T'aime, donne-moi l'amour de tout ce qui me rapproche de Ton Amour, et fais que je T'aime plus que l'eau fraîche! .. Parole aux disciples
"extrait de Voies des sages"
couleurs-d-istanbul.com
Jean Biès dans son livre "Voies des Sages" demanda au Sheikh Adda Bentounes disciple du Sheikh Ahmad Al Alawi (que Dieu illumine sa tombe) fondateur de la confrérie Al Alaouiah ce qu'était le Soufisme :
<< Ce que tu as en tête, abandonne-le; ce que tu tiens donne le; ce qui t'advient, ne l'esquive pas.>>
C'est ma réponse à votre question mon frère. C'est dans l'abandon, le sacrifice, la soumission que se tient le soufisme, qui est le gout de Dieu
Ce que vous êtes?
Vous êtes ...Unique ...
Ce que vous êtes aujourd'hui est très bien. Acceptez-vous tel que vous êtes et sachez qu'avec le temps vous allez changer.
Ne vous dénigrez pas; ne vous comparez pas à autrui. concentrez-vous sur ce qui vous rend unique. Encouragez-vous... Tendez vous la main ... soyez patient envers vous-même ...
Paix & Quiétude ...: Harmonie intérieure & extérieureL’homme vit com...
Paix & Quiétude ...:
Harmonie intérieure & extérieure
L’homme vit com...: Harmonie intérieure & extérieure L’homme vit comme une île et c’est de là que vient toute la misère. Tout au long des siècles, l’ho...
Harmonie intérieure & extérieure
L’homme vit com...: Harmonie intérieure & extérieure L’homme vit comme une île et c’est de là que vient toute la misère. Tout au long des siècles, l’ho...
Harmonie intérieure & extérieure
L’homme vit comme une île et c’est de là que vient toute la misère. Tout au long des siècles, l’homme a essayé de vivre indépendamment de l’existence; ce qui n’est pas possible dans la vraie nature des choses. L’homme ne peut être ni indépendant, ni dépendant. L’existence est un état d’interdépendance; tout dépend de tout. Il n’y a aucune hiérarchie, personne n’est inférieur et personne n’est supérieur. L’existence est une communion, une affaire d’amour éternelle.
Mais l’idée que l’homme doit être plus haut, supérieur, spécial, crée le problème. L’homme doit être rien, l’homme doit se dissoudre dans la totalité de choses. Et lorsque nous laissons tomber toutes les barrières, l’harmonie arrive et cette harmonie est une bénédiction. Être un avec le Tout est tout. C’est l’essence même de l’esprit religieux.
Harmonie intérieure & extérieure ~ http://www.aegiale.net ~
Terre du Ciel
Le langage des Oiseaux
« La rencontre avec soi-même est le but ultime du voyage, c'est à la fois être ce que l'on est et être autre que ce que l'on est. C'est-à-dire être ce Sîmorgh, et être à la fois ces trente Oiseaux, individuellement, séparément, personnellement. Ces Oiseaux pourront soit revenir dans le monde comme trente personnalités différentes et vivre leur vie, soit sentir en même temps qu'ils sont dans la vie et dans le Sîmorgh, dans leur transcendance et dans leur immanence.
Dans ce voyage, on peut dire que le bagage essentiel, c'est l'amour. Attar parle de l'amour, qui est inséparable du renoncement. Il dit qu'« il n'y a pas d'amour s'il n'y a pas de sang et de larmes dans le cœur ». Cet amour s'accompagne de renoncement à l'amour Lui-même. Le renoncement est comme un silence de l'amour à l'intérieur de l'amour. C'est donc à la fois amour et renoncement qui vont permettre d'accéder à ce quiest au-delà de l'amour, dans le silence de l'amour, et qui est comme l'activité secrète, le langage secret, le Langage des Oiseaux de l'Amour. »
"Le langage des Oiseaux",
Terre du Ciel,
n°47, 1999.
Paix & Quiétude ...: yoga et gestion du stress
Paix & Quiétude ...: yoga et gestion du stress: ... dites moi qui de nos jours ne stress pas? ... yoga ... méditation ... offre des techniques très pointues ... pour surpasser ce mal o...
yoga et gestion du stress
... dites moi qui de nos jours ne stress pas? ... yoga ... méditation ... offre des techniques très pointues ... pour surpasser ce mal ou pour mieux le gérer ... Bruno Lalement à écrit longuement sur le stress ... magnifique en tout cas ... pertinent aussi ... Stress et gestion du stress : ce que vous devez savoir sur le stress pour le réduire, l'éliminer ou les gérer
Apprécier avec moi cette vidéo de Ghada Rosn :
… tout est
corrélation et mouvance …
Tout dans
l'univers, est mouvement, rien n'est statique ni immobile, tout vibre
constamment et le mouvement est vie. Dans l'univers, il n'existe pas de concept
de mort, il n’y a que transformation, changement et évolution. ~Osho~
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Tout le Bien être ... est en nous
On entre, on crie : Et c'est la vie!
On bâille, on sort : Et c'est la mort.
~Ausone de Chancel~
Je dirai humblement :
On inspire et c'est la Vie ...
On expire : et c'est la Mort..
d'un corps et pas de l'âme ... l'inspire et l'expire ... c'est
une symphonie ... au delà de toutes les symphonies qu'a connu
la musique ..
Que pourrait être ce segment Inspire &
Expire si ce n'est la durée de vie.. de toute créature ... alors prolongeons
notre durée de vie en travaillant notre Inspire & notre Expire ...
Les 'Breatharians' ont trouvé
la Solution ... Le Prana ...
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Gardons le contact ....
...cette page sera dédiée à vos questions, vos suggestions, vos
besoins en savoir, nous ferons ensemble de ce blog une réussite .. n'est ce pas
que tout commence à partir d'un oeuf ...
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